Le coin idéal !

Adalën arrive, au bout de plusieurs heures, dans un coin qui paraît idéal pour son entraînement...

Adalën : Aaaaaah !! Enfin j'ai trouvé l'endroit parfait !

En effet, le lieux en question est une grande plaine bordant un lac qui scintille par ce doux Soleil de printemps. L'herbe est verte de partout et l'eau est clair. Il n'y a personne dans ce petit coin de paradis aussi, Adalën croit rêver !

Il commence par s'installer en plantant une tente près du lac. Ensuite, il court chercher des pierres et du boi afin de faire un foyer pour le feu du soir.
Il décide alors de se laver, car il est dans un état piteux depuis trois jours. Il a tant d'admiration, pour ce coin sur lequel il a eu la chance de tomber, qu'il ne veut pas salir l'eau du lac. Il creuse un petit rocher et le rempli d'eau, puis il le verse sur son corps.

Adalën : Aaaaaah ! De l'eau fraiche ! Ca fait du bien !! Maintenant, passons aux choses sérieuses ! Je vais commencer par faire des tours de terrains.

Il réfléchi...

Adalën : Hmmm... Il n'y a pas vraiment de parcours. Je vais devoir en délimiter un !

Il prend quelques affaires dans son sac à dos et va les positionner à quatre points afin d'avoir une surface d'un périmètre d'environ 200 mètres.
Il commence alors à courir en faisant une cinquantaine de tour.

Adalën : Rien de tel que de courir pour améliorer l'endurance ! Mais cela m'étonne quand même toujours un peu que je ne sente plus mes poids... Il y a trois jours, je n'aurais jamais pu faire ces cinquante tours ! Hé ! Hé ! J'en connais qui va faire une drôle de tête quand il va me voir revenir !

Il reprend alors son entraînement en effectuant dix séries de cinquante pompes, dix séries de cent abdominaux, dix séries de cent flexions.
Il se crée alors un planing qu'il configure sur un mois :
Réveil à 6 heure le Matin (tout faire avec les lests)
- Echauffement :
- 100 pompes.
- 500 abdos.
- 500 flexions.
- 50 tours de terrain.
- Entraînement physique :
- Détruire une dizaine de rochers (il y en a des centaines ici).
- Foncer dans la montagne torse nue pour renforcer la peau (jusqu'à ce que la peau saigne beaucoup).
- Faire des flexions en soulevant des rochers (jusqu'à l'épuisement total).
- Prendre une petite pause.
- Faire cinquante fois le tour du lac à la nage.
- Entraînement aux techniques :
- Continuer de perfectionner le Hakai no Gen'kotsu no Jutsu.
- Inventer d'autres techniques puisant dans le même Chakra que cette technique.
- S'entraîner au Genjutsu.
- Le reste de la journée :
- 200 pompes.
- 1000 abdos.
- 1000 flexions.
- 100 tours de terrains.

Adalën : Si je fais ça avec de la rigueur, je deviendrais très fort !!

Il commence alors son entraînement de titan !

Deux semaines après qu'il se soit établit, Adalën sent que son corps subit plusieurs changements majeurs.
Sa musculature s'est considérablement développée et ses traits se sont endurcis. Il a voué jusqu'ici son entraînement au renforcement de son corps.
Son entraînement se poursuit donc jusqu'au jour où il entend un hurlement rauque provenant de la fôret. Bien qu'il ait aquis une certaine confiance en lui, Adalën ne peut s'empêcher de frissonner lorsqu'il essaye d'imaginer quelle sorte de créature peut pousser un tel cris.
Il stoppe alors sa série de pompes et regarde en direction de la fôret, là d'où le bruit vient.
Le sol se met alors à trembler, de plus en plus fort, comme si un géant martelait la terre de son poing. Les secousses qui semblent se rapprocher du garçon s'intensifient au fur et à mesure de leur avancée. Puis ! Plus rien !

*Je me demande ce que ça pouvait bien être...*

Voyant que le danger est écarté, il reprend son entraînement...
Mais quelques secondes plus tard, une gigantesque créature surgit des arbres, en sautant à une cinquantaine de mètres au dessus du sol.

Adalën : Oh non...

L'énorme monstre se trouve être un Oonba d'une taille anormalement grande.

Adalën : Argh ! Il doit mesurer à peu près cinq mètres !! Mais ?... Non... Ca n'est tout de même pas ?...

Le Oonba pousse un terrible hurlement en direction d'Adalën.

*Mince ! Ca doit être le petit du Oonba que j'ai tué l'autre jour, dans la fôret... Vu sa taille, il doit s'agir d'un mâle ! Il veut venger sa mère...*

Adalën : ECOUTE PETIT ! JE SUIS TERRIBLEMENT DESOLE POUR TA MERE, MAIS JE N'AI FAIT QUE ME DEFENDRE CE JOUR-LA !
Oonba : ROOOOOOOOOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAAR !!!

*G...Gou... Ca ne sert à rien ! Il ne m'écoutra pas !! Que faire ? Ce monstre est gigantesque !... J'ai de la peine pour lui, mais je ne peux pas me laisser tuer non plus !! Je n'ai pas le choix, je dois l'affronter !*

Adalën repense au jour où il affronta la mère de l'Oonba. Il avait analysé la situation de la même façon et finalement, cela avait fini en carnage.
Le Oonba commence alors à foncer sur Adalën. Ce dernier, ayant décidé de fatiguer la bête sans la toucher, ne fait qu'esquiver ses coups. Il le fait donc, avec une agilité féline. Le Oonba, aveuglé par sa rage, donne de puissants coups inutiles qui lui font perdre très vite, beaucoup d'énergie. Au bout d'une vingtaine de minute à esquiver les attaques de son adversaire, Adalën ne se sent toujours pas essouflé. En revanche la créature, elle, souffre de la fatigue et elle ne tarde pas à s'écrouler tant ses réserves d'énergie sont vides.
Le garçon se rapproche alors de la bête qui ne peut plus bouger.

Adalën : Je te le redis... Ta mère est tombé sur moi ce jour-là et elle m'a attaqué. Elle s'est admirablement bien battut jusqu'à ce qu'elle subisse le joug de mon attaque. Elle m'a blessé à plusieurs endroits avant de mourir et ses attaques ont laissé des traces pendant quelques jours. Tu as le droit d'avoir de la colère envers moi, mais ce combat était celui de ta mère... Elle l'a provoqué et elle ne voudrait certainement pas que tu souffres à cause d'elle.
Cette nuit-là, ma colère m'a aveuglé moi aussi, tout comme toi. Et je n'ai pu contrôler ce qu'il s'est passé...

Le Oonba fixe Adalën dans les yeux, imperturbable. Il montre les dents et grogne.
C'est là qu'il vient une idée à Adalën.

Adalën : Je regrette énormément... Je t'ai pris ta mère et c'est pourquoi je te propose de prendre soin de toi à sa place. Je suppose que cette proposition ne t'enchante guère, mais c'est la seule solution que je voit à ce problème. Je ne te demandrais pas de devenir mon ami, mais simplement de me suivre et de me laisser m'occuper de toi. Alors qu'en penses-tu ?

L'être au coeur déchiré, voit dans sa vie vouée à la vengence, une alternative qui lui permettrait de pouvoir vivre tranquilement. Mais d'un autre côté, il ne peut accepter l'aide de celui qui a tué sa mère. Il sait très bien que le manque d'un être qui le protége et qui prend soin de lui se fera sentir tôt ou tard...
Le Oonba se lève et regarde Adalën, qui reste sur ses gardes. La bête le fixe longtemps et finit par ocher la tête dans un grognement. Il est d'accord. Son corps se met alors à retrécir jusqu'à mesurer dans les deux mètres et demi. Adalën sourit et alors qu'il est sur le point de prendre dans son sac de quoi manger pour lui et l'Oonba, ce dernier lui assène un puissant coup de patte dans la machoire !

Adalën : Wargh !!

Le jeune homme voltige sur une dizaine de mètres avant de s'écraser la tête dans un rocher. Il est fortement sonné, mais tente tant bien que mal de se relever. Lorsqu'il est à peu près stable, il porte sa main à son menton et sent un liquide chaud couler sur son visage. Le Oonba avait joint ses griffes pour frapper Adalën dans un point du visage. Son intention n'était pas de tuer le garçon, mais de lui laisser une cicatrice qui serait visible très longtemps.
Le sang coule de la joue droite du Ninja. Il regarde le Oonba qui n'a pas bougé depuis qu'il lui a porté le coup.

Adalën : ... Je suppose que c'était la condition pour que tu acceptes ma proposition... Je vais longtemps garder la cicatrice et c'est ce que tu voulais.

Le géant continue de fixer Adalën, puis finit par s'assoir.

Adalën (il sourit) : Hmmm... Très bien ! Tu es désormais mon familier !

Le Oonba lui crie dessus.

Adalën : Hum... Très bien... Je me contenterais alors, d'un allié ?
Oonba : Va pour allié...
Adalën : Qu.. Quoi ?! Mais... Tu parles !
Oonba : QUE CROIS-TU STUPIDE HUMAIN ? QUE PARCE QUE NOUS RESSEMBLONS A DES BETES, NOUS SOMMES FORCEMENT IDIOT ?!!
Adalën : N... Non... Je ne savais pas... C'est tout...
Oonba : GRRR... CESSE DONC DE PARLER ! JE DOIS ME FAIRE A L'IDEE QUE JE DOIS COMPTER SUR UN STUPIDE HUMAIN !!
Adalën : Ah ! Ah ! Ah ! Ne t'inquiête pas ! J'honorerais la dette que je te dois en faisant de mon maximum !!
Oonba : JE ME FOUT DES EFFORTS QUE TU PEUX FAIRE !! HONORE TA DETTE ! CELA SERA FAIT LORSQUE J'AURAIS ACQUIS SUFFISEMENT DE FORCE POUR T'ANEANTIR !!
Adalën : D'accord mais, en attendant, pourrais-tu essayer de parler moins fort, s'il te plait ?
Oonba : Pffff... Allez ! Va t'entraîner gamin !

Adalën s'apprette à retourner à son entraînement, quand il se rend compte qu'il a oublié quelque chose d'important...

Adalën : Ah ! Au fait !
Oonba : Quoi encore ?!
Adalën : Moi c'est Adalën !
Oonba : Quel nom de merde !!
Adalën : ... Et toi ?
Oonba : ... Tu n'as pas à le savoir ! Dégage maintenant !

*Il est dur mais... Je le comprend...*

Adalën reprend alors son entraînement alors que le Oonba, lui, reste assis, à réfléchir...

Cinq jours après que le Oonba ait rejoint Adalën, les deux individus ne se sont presque pas parlé.
Bien que le Chunnin ait tenté plusieurs fois de sympathiser avec son protéger, ce dernier reste froid et distant.

Adalën : Et l'Oonba ! Je vais aller chercher de quoi manger, nous n'avons plus rien... Tu veux venir ?
Oonba : Je n'ai aucune envie de venir chasser avec toi... Va donc jouer avec les cerfs si ça t'amuse... Et ne m'appelle pas l'Oonba !!

*Mfff... Quel tête de mule !*

Adalën : Bon très bien j'y vais...
Oonba : C'est ça... Dégage...

Adalën part donc chasser le cerf, ce qu'il mange depuis déjà une semaine. Au bout d'une demi heure, il parvient a en capturer trois.

*C'est que mon petit protéger a un apétit d'ogre ! Un demi cerf pour moi et deux et demi pour lui...*

Soudain, on entend au loin un hurlement grave.

Adalën : L'OONBA !!!

*Argh ! Je n'aurais pas du le laisser seul trop longtemps !!*

Le garçon se dépêche de le rejoindre.
Le poids des cerfs le ralentit, il décide d'en laisser un sur le chemin.

*Dépêchons-nous !*

Lorsqu'il arrive enfin, l'Oonba est a moitié dans la gueule dans serpent géant.
Il pousse des cris de douleur et son flanc droit saigne abondement.
Le jeune homme dépose les carcasses de cerf.

*Qu'est-ce que c'est que ce monstre ?!*

Adalën : LACHE-LE SALE BETE !!

Adalën fond sur le serpent qui le repousse d'un puissant coup de queue. Le Ninja est projeté à terre mais se relève immédiatement pour secourir l'Oonba. Il coure vers le serpent et lui porte un puissant coup de poing dans la machoire. Cette dernière se déboite, sous la force de l'attaque et lâche prise sur l'animal.

Adalën : Ca va ?! Rien de casser ?!

Mais alors qu'il parle, le reptil en profite pour l'enlacer avec sa queue et prendre une puissante emprise sur le garçon.

Adalën : WAAAAARGH !! AAAAAAAAAAAAAAAAH !!

*Son... Son étreinte est puissante !*

Adalën : Oo... Oonba ! Enfuis-toi !!

Mais la créature ne bouge pas.

Oonba : Si tu crois que je vais te laisser mourir sans que tu aies honoré ta dette, tu te trompes !!
Adalën : Ba... Barre-toi !! Je te dis de partir !! Je m'en sortirais très bien tout seul !!
Oonba : Si tu es sûr de pouvoir le battre, alors je ne vois pas pourquoi je partirais ! Allez !! Vas-y !! MONTRES-MOI LE POUVOIR QUI A TUE MA MEEERE !!

Adalën tente de se détacher de cette étreinte mortelle, mais sans succès...

Adalën (son regard est meurtrié) : A QUOI BON TOUT CET ENTRAINEMENT SI C'EST POUR CREVER A CAUSE D'UN STUPIDE SERPEEEEEEEEEEEEEENT !!!

Sur ces mots, ils se met à s'énerver et contracte tout les muscles de son corps au maximum, puis tente d'écarter les bras.

Adalën : WOOOOOOUAAAAAAAAAH !!!

Le serpent sent une puissante pression s'éxercer sur sa queue. Le Ninja repousse de plus en plus l'étreinte.

Adalën : CA NE SUFFIT PAS !! HAKAI NO GEN'KOTSU NO JUTSUUU !!!

L'aura brillante entoure alors le corps d'Adalën et sa force ne connaît alors plus de limite vis à vis du serpent. Il se dégage de la prise et donne puissant coup de pied dans la tête du reptil. Cette dernière e désintègre sous la puissance du Chakra dégagée.
Le garçon tombe à terre et l'Oonba se précipite près de lui.

Adalën (le sang coule de sa bouche à cause de l'étreinte de son ennemi) : Alors... Qu'est-ce que tu attends ? Je croyais que tu voulais venger ta mère quand tu en aurais l'occasion, non ?
Oonba : ...
Adalën : ...
Oonba : Je comprend pourquoi ma mère n'a rien pu faire contre toi maintenant. Je dois t'avouer quelque chose...
Adalën : Hein ?
Oonba : Nous les Oonbas sommes comme la plupart des autres animaux... Nos mères nous élèvent, mais lorsque le moment est venu, elle nous chasse et nous abandonne. C'est ce qu'elle a fait avec moi. Je ne sais même pas ce qu'il m'a pris de vouloir la venger...
Adalën : C'est normal ! Ca prouve que tu as su de distinguer des autres animaux. La vengence bien qu'elle ne soit pas une solution, permet de reconnaître les êtres qui ont du coeur. En voulant la venger, tu as su prouver cela.
Oonba : ... Je suppose que maintenant, ta dette est remboursée... Je vais partir alors...
Adalën : ... Reste si tu en as envie. Ca ne me dérange pas de traîner avec un Oonba tu sais ? En plus, t'es plutôt simpa, même si parfois tu as un vrai caractère de merde... Ah ! Ah ! Ah !
Oonba (il sourit) : Hmmm... De toute façon je n'ai rien à faire... Alors... Pourquoi pas ? Dis-moi petit, quel est ton but dans la vie ?
Adalën : Moi ? Je rêve de devenir le plus fort de tous les Ninjas ! Tu sais, j'ai un rival ! Il s'appelle Lee ! Et même si on s'engueule souvent, on est quand même ami.
Oonba : Adalën... Si ça ne te dérange pas alors... je veux bien t'accompagner.
Adalën : SUPEEEEEEEEEEER !!! Allons-y !! Tu vas venir t'entraîner avec moi aujourd'hui !!

Adalën commence à faire des pompes, bien que son combat l'ai un peu fatigué.

Oonba : Hey gamin !
Adalën : Quoi ? Tu ne veux pas t'entraîner ?
Oonba (il rit) : Non ça n'est pas ça... Mais, je crois que j'ai oublié de te dire mon nom...
Adalën : ...
Oonba : Je me nomme Krael.
Adalën : Krael ?... Ca va, c'est un joli nom ! Allons-y alors Krael ! N'oublie pas que nous rentrons à Konoha dans dix jours !!
Krael : Bien !

Il reprend alors son entraînement d'acharné accompagné de son nouvel ami Krael, le Oonba.

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Cinq jours ont passé depuis le combat avec le serpent... Adalën et Krael ont donné leur maximum dans ce qu'ils ont appelé le programme Titan.
Alors qu'ils viennent d'attaquer une série de cent pompes, Adalën engage une conversation.

Adalën : Hmmm... Je pensais à quelque chose. Si nous pouvions nous battre ensemble dans certains combats ça serait cool, non ?
Krael : Oui, mais pour cela, il faudrait que je sois un Biju et que tu m'aies en toi. Ou bien il faut que je sois ton familier...
Adalën : Hmmm... L'idée d'une symbiose est pas mal... Tu sais, il y a un gars à Konoha, qui fait ce genre de truc avec son chien. Il s'appelle Kiba et le chien Akamaru, je crois que je t'en avais parlé.
Krael : Pfiou... Ouh... Ouh... Euuuuh... Ouais ! Pourquoi pas ? Ouh... Ouh...
Adalën : ... Cet entraînement t'a épuisé ! Faisons une pause !

Ils s'arrêtent quelques minutes...

Adalën : Ca te dis d'essayer de créer une sorte de symbiose entre nous deux ?
Krael : Hmmm... Je ne sais pas... Tu as une grande force, je ne pense pas que je te serait utile...
Adalën : Ou mieux ! J'avais tôt ou tard l'intention de créer un groupe ! Tu pourrais en être mon premier membre et être mon bras droit, qu'en dis-tu ?
Krael : Très bien ! J'accepte, comment vas-tu appelé ce groupe ?
Adalën : Konohamôjû !
Krael : Arf ! Arf ! Arf ! Quel nom bizzard !!
Adalën : Ne te moque pas !
Krael : Pourquoi ce nom ?
Adalën : Parce que... Konoha, c'est mon village natale, et Môjû (fauve), parce qu'on est des bêtes féroces !
Krael : Ah ! Ah ! Ah ! Très bien alors... Va pour Konohamôjû !
Adalën (il sourit) : Super ! Bon maintenant... le premier qui fait cent pompes aura le meilleur morceau du cerf que l'on mange ce soir !
Krael : Argh !!

Les deux amis se mettent donc à faire leur série...

Un mois entier s'est écoulé depuis qu'Adalën a décidé de s'entraîner dans ce magnifique petit coin.
Aujourd'hui, suivi de son nouvel ami Krael, il retourne enfin à Konoha, plus fort que jamais.

*C'est la grand jour ! Je vais enfin pouvoir retourner chez moi !*

Adalën : Avant de partir Krael, nous allons nous échauffer un peu ! Cinquante tours de terrains, cent pompes et cinq cent abdominaux !
Krael : Bien !

Ils effectuent alors cote à cote leurs séries.
Lorsqu'ils ont fini, ils rangent leurs affaires et se prépare à quitter les lieux.

*Hmmm... Cet endroit va me manquer !*

Adalën : Allons-y !! J'espère que Lee a progressé de son côté car dés que j'arrive, je le défie !!

Ils partent alors en courant (ce qui représente une vitesse d'environ 70Km/h).